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CMA-CGM n
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L'armateur marseillais confirme discuter avec des banques et des institutions afin de trouver une solution pour sortir de son lourd endettement (5 milliards de dollars, soit 3,4 milliards d’euros), alors que la crise a largement pénalisé le transport maritime.
Ce comité de pilotage, constitué d’entités européennes et internationales, est chargé de proposer des mesures permettant de garantir les besoins de financement du Groupe à court et moyen terme, de renforcer sa structure financière et d'assurer ainsi son développement pérenne, d’après un communiqué. Le groupe rappelle qu'il fait face à des conditions de marchés, fortement dégradées depuis plus d'un an, ce qui l'a contraint à lancer un plan d’économie de 600 millions de dollars sur ses coûts d’exploitation. Sa flotte a donc été réduite de 393 à 361 navires. Le retour à l'équilibre est espéré pour le premier trimestre 2010.
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Mis à jour le 01/10/2009 (Référence : 330) |
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La SNCF dans le rouge
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Guillaume Pépy, le président de la SNCF a confirmé à la radio, ce matin, l’information selon laquelle le réseau ferré de France présentait un exercice 2009 en chute de 500 millions au premier semestre. La faute est, une fois encore, à imputer à la crise économique qui a forcé le trafic marchandises à plonger (ce même fret qui vient de bénéficier d'un ambitieux plan de relance) mais aussi à ralentir le trafic passagers.
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Mis à jour le 29/09/2009 (Référence : 329) |
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Deux Rafale s'ab
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Alors que la France négocie un contrat avec le Brésil, deux avions Rafale se sont abîmés, jeudi soir en Méditerranée. Il s'agit du deuxième accident de l'histoire de l'appareil. Pour le moment, seul un des deux pilotes a pu être repêché sain et sauf, selon la Marine nationale. Il était 18h00, quand deux Rafale du porte-avions Charles de Gaulle, se sont vraisemblablement percutés au large de Perpignan. « La priorité est maintenant, de retrouver le deuxième pilote », déclarait une porte-parole de l’armée. La cause de l’accident, survenu lors d’une mission d’entraînement, ne sont pas encore connues. En décembre 2007, un chasseur multirôles, Rafale, de l'armée de l'air s'était écrasé en Corrèze. 120 exemplaires de ce même avion viennent d’être commandés à ce jour, dont 82, livrés en France, fin 2009.
Cet accident intervient à un moment crucial où la France entre en négociations avec le Brésil pour la vente de 36 Rafale. L'annonce en avait été faite en grande pompe par les présidents français et brésilien le 7 septembre à l'occasion d'une visite de Nicolas Sarkozy à Brasilia.
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Mis à jour le 28/09/2009 (Référence : 328) |
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Ryanair envisage de distribuer un dividende
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La compagnie aérienne irlandaise envisage de verser son premier dividende à titre exceptionnel alors que ses profits devraient être compris entre 200 et 300 millions d'euros cette année.
Si la première compagnie européenne low cost enregistre toujours une croissance de ses résultats, il n’en demeure pas moins qu’elle ait tout de même du baisser ses tarifs pour parvenir à remplir ses avions. Aussi, Michael O’Leary, le Directeur général du groupe a réaffirmé sa prévision d’un bénéfice net ajusté deux fois supérieur à l’an dernier, dans le bas d’une fourchette comprise entre 200 et 300 millions d’euros. Ryanair envisage donc la possibilité d'utiliser une partie de son stock de 2,5 milliards d'euros de liquidités pour un dividende exceptionnel ou des rachats d'actions.
Ryanair conservera toutefois une partie importante de ses réserves. Des discussions sont en cours concernant des commandes d'avions avec Boeing. D'autres, " moins intensives" se nouent avec Airbus.
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Mis à jour le 25/09/2009 (Référence : 327) |
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Le trafic a
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L'indicateur du transport aérien ID Aero montre que le trafic a repris des galons en août : +1,8%. Même s’il reste en baisse de 4,2% sur l’année, une chose est sûre, le coefficient de remplissage augmente. Par contre, un point reste noir : Rele« yield », cette optimisation virtuelle du remplissage, qui n’est pas au mieux de sa forme.
Les classes « affaires » et « première » continuent de se raréfier, pour venir gonfler les rangs « économiques » de l’avion. Et les profits des compagnies s’en ressentent toujours. Air France - KLM tente donc de réagir en lançant une classe hybride entre l'affaire et l'économique avec plus d'espace que l'éco mais les mêmes repas. Mais le risque de voir se marginaliser les classes « business » pourrait être bien exacerbé…
C'est comme qui dirait, le prix à payer.
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Mis à jour le 24/09/2009 (Référence : 326) |
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