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STX l

STX (ex-Chantiers de l'Atlantique) a dévoilé à Saint-Nazaire son projet de bateau écologique à cinq coques et à voiles permettant d'économiser 50 % de carburant et dont la construction pourrait être lancée dans trois ans.

Baptisé « Eosea »", ce bateau du futur est le résultat du programme Ecorizon mené depuis plus de deux ans aux chantiers pour tenter de trouver des solutions écologiques pour les paquebots devenus de véritables villes flottantes. Paquebot à cinq coques, il comporte 12.440 m² de voiles sur cinq mâts et peut naviguer même en cas de fortes rafales. Par vent faible, ces voiles semi-rigides peuvent en moyenne apporter « 10% de l'apport énergétique » nécessaire au déplacement du paquebot, selon Erick Pèlerin, le responsable du programme.

Cinq brevets ont été déposés dans le cadre de ce projet. Un « projet réaliste qui a pour ambition c'est d'être prêt dans trois à cinq ans »


Mis à jour le 01/04/2009 (Référence : 206)

EADS bloqu

Le projet patine. L’avionneur européen vient de débourser 2,1 milliards pour contrer les conséquences dues au retard. EADS, qui s’est engagé à mener à bien la construction d’un avion de transport militaire, le A 400 M, réfléchit à un éventuel abandon du projet, déjà en retard de trois ans. Thomas Enders, le Pdg de l’avionneur a déclaré qu’il préférait « une fin qui provoquant des cris d’orfraie que des cris d’orfraie sans fin », invoquant le caractère irréaliste du calendrier, établi par les différents clients. Le problème est qu’ils sont nombreux. Sept, à avoir des exigences propres. Ce qui complique le déroulé de la commande. Au total, 180 appareils ont été demandés par la France, l’Allemagne, l’Espagne, le Royaume-Uni, la Turquie, la Belgique et le Luxembourg.

"Dans les conditions actuelles", la poursuite d’avère impossible, selon le pdg qui invite les états clients à réétudier les délais. Ils ont jusqu’au 1er juillet pour dénoncer ce programme de 20 milliards d’euros.


Mis à jour le 31/03/2009 (Référence : 205)

Le Turc ESAS ach

ESAS Holding, la société turque qui chapeaute la compagnie aérienne Pegasus, a annoncé son projet de racheter 15,3 % de parts de marché à Air Berlin, laquelle a précisé qu'ESAS serait représenté à son conseil par un directeur non exécutif. Au début de l'année, l'un des actionnaires clefs d'Air Berlin, le milliardaire américain Len Blavatnik, avait cédé sa participation de 18,9 % dans la compagnie. Les investisseurs s’interrogent, depuis, sur l’identité de l’acquéreur. Le titre Air Berlin, qui clôturait vendredi à 3,08 euros à la Bourse de Francfort, a perdu la moitié de sa valeur au cours des 12 derniers mois.

Mis à jour le 30/03/2009 (Référence : 204)

Quel est l

Le suspense a été levé hier soir…. Le site boursier.com a révélé que loin devant l’aéroport Paris-Charles de Gaulle, qui occupe néanmoins la cinquième place mondiale, c’est Hartsfield Airport à Atlanta qui remporte la palme des fréquentations mondiales de passagers. Selon le classement de l’ASCI (Airport council International), cet aéroport américain a drainé quelque 90 millions de passagers l’année dernière. Sur ses talons, on retrouve l’aéroport O’Hare de Chicago avec près de 70 millions de voyageurs. La dernière marche du podium revient à Londres Heathrow. Malgré un repli de 1,5 % l’an passé, la capitale britannique a transporté 67 millions de personnes.

Paris, à la cinquième place, progresse doucement mais sûrement. Pour la deuxième année consécutive, Charles de Gaulle gagne une place dans le classement.

A noter que l’aéroport parisien se positionne à la sixième place en termes d’activité cargo.


Mis à jour le 27/03/2009 (Référence : 203)

Vent de d

La tempête souffle sur le port de Nantes Saint-Nazaire. Une cascade de démissions pour un motif clair: le rejet par le ministre des Transports, Dominique Bussereau, de l'accord signé par la direction du port, la CGT et les entreprises de manutention. Il mettait un terme à dix jours de grève relative à la réforme portuaire. Les dirigeants maritimes voyaient d’un mauvais œil la privatisation de certaines de leurs activités, projeté par cette réforme suite à la transformation des Ports autonomes en Grands Ports maritimes. Etant parvenu à une nouvelle organisation de l'exploitation et des services de maintenance, l’accord a été, contre toute attente, refusé par Dominique Bussereau. Résultat : François Marendet, le directeur du port démissionne; Pierre Guénant, le président du conseil de surveillance le suit par solidarité.

Mis à jour le 26/03/2009 (Référence : 202)
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